2005

2005. CLÉA et DOMINIQUE – ou UNE INTERLOCUTRICE MUETTE QUE LA COLÈRE ÉTOUFFE

NOVEMBRE 1981. Encore un dimanche que j’ai passé à préparer ma mort c’est-à-dire à écrire, plutôt qu’à m’occuper des vivants, Clara et Bo, qui, l’un, regarde la télévision, l’autre, gelée, s’enveloppe de lainages dans sa chambre et travaille (je suppose). Je suis triste. Rémy qui a passé les vacances de la Toussaint ici avec un […]

2005. CLÉA et DOMINIQUE – ou UNE INTERLOCUTRICE MUETTE QUE LA COLÈRE ÉTOUFFE Lire la suite »

20 MARS 2005 C’EST BIEN LA PREMIÈRE FOIS QUE QUELQU’UN ME DIT « DORS BIEN » À SEPT HEURES DU SOIR

Demain le printemps. Hier soir, travaux écrits de binage, labourage de plates-bandes. Qu’est ce qui va sortir de ces retournements de terreaux ? Feuilles mortes en décomposition, jeunes pousses d’un vert acide ? Quelle musique composer de l’instantané des propos qui fusent, alouettes ou mésanges, et du chant oublié de la mémoire ? Avec ces énormes

20 MARS 2005 C’EST BIEN LA PREMIÈRE FOIS QUE QUELQU’UN ME DIT « DORS BIEN » À SEPT HEURES DU SOIR Lire la suite »

MARDI 18 JANVIER 2005. PETITS FAITS SAILLANTS DE LA JOURNÉE D’HIER

Éblouie Éblouie à Beaubourg par les petits carnets Du peintre Jean Hélion dans la vitrine Éblouie le même soir par la lecture d’un livre acheté (exemplaire de démonstration) en solde dans l’échangeur de la gare du RER, Poèmes de métro, de Jacques Jouet : un écrit chaque jour Éblouie par leur discipline. PS facultatif. Éblouie des

MARDI 18 JANVIER 2005. PETITS FAITS SAILLANTS DE LA JOURNÉE D’HIER Lire la suite »